
LA SITUATION
Il est facile de constater que l’offre est très faible au Canada et ce depuis plusieurs mois.
Ceux qui sont disponibles à la vente profitent de l’effet Covid, ce qui permet de maintenir un prix plus élevé.
En effet, lorsque l’offre est peu abondante et la demande plutôt forte, les vendeurs sont favorisés et les prix sont à la hausse.
Les bateaux neufs seront beaucoup plus dispendieux en 2022, les grands manufacturiers ont décidé d’augmenter leurs prix de manière très significative (de 10 à 20%). Les concessionnaires ont également suivi le pas étant donné la rareté de l’offre.
Ceci va contribuer à créer une pression sur le marché de l’occasion.
Donc, si vous planifiez une acquisition pour l’été 2022, commencez à magasiner tôt.

ALTERNATIVE INTÉRESSANTE,
L’ACHAT AUX USA AVEC DES COURTIERS EXPÉRIMENTÉ
Il est bien normal pour plusieurs plaisanciers de regarder du côté de l’occasion afin de maximiser leurs mises. Bien sûr, l’abondance de l’offre se trouve surtout du côté américain.
Même avec le taux de change, le marché américain présente d’excellentes occasions comparées au marché canadien. Il faut faire le calcul, ça vaut la peine.
Il y a plusieurs grands marchés au sud de notre frontière. Bien sûr la Floride, la côte EST (de Boston à Annapolis) mais aussi le grand marché en eau douce que représentent les Grands Lacs. Le Lac Michigan constitue le 2e meilleur marché aux États-Unis.
Mais les vendeurs de bateaux en eau douce font toujours une bonification de leur prix pour ceux qui ne désirent absolument rien d’autre qu’un bateau en eau douce.
À ceux-là je leur propose la réflexion suivante,
Seule, une inspection en profondeur peut nous révéler l’état d’un bateau. Les photos c’est bien, mais nettement insuffisant. Il faut savoir l’historique de chaque bateau.
LES DÉTRACTEURS DE L’EAU SALÉE
Au-delà de cet adage, il faut prendre en compte tous les facteurs. Par exemple, le bateau navigue où? Dans l’eau salée froide, 6 mois par année hors de l’eau, un peu comme les bateaux qui navigue entre Québec et Tadoussac ou encore Rivière-du-Loup? Ils sont généralement bien acceptés par les plaisanciers. Donc, pourquoi ne pas considérer un bateau qui par exemple navigue dans la région de Boston, New York ou encore du New Jersey.
Comme au Québec, ils sont aussi hors de l’eau 6 mois par année.
Il faut tenir compte des facteurs comme ceux-ci avant de rejeter un bateau juste parce qu’il a vu de l’eau salée.
Et pour ceux au sud, on pense aux Carolines, la Floride, le Golfe. Seules des inspections pointues vont nous donner l’état du bateau. Il y a des plaisanciers très attentionnés à leurs bateaux au sud.
Alors, n’hésitez pas à prendre un pas de recul face à ceux qui « démonise » tous les bateaux qui proviennent des États-Unis.
L’APPROCHE PRÉVENTIVE
Il y a de véritables aubaines hors Canada! Il faut une démarche structurée avant tout, la même chose que pour un achat fait ici.
Une démarche avec une offre qui vous permet toujours un retrait inconditionnel, le dépôt conservé de manière sécuritaire (en fidéicommis) et que vous pouvez récupérer sans pénalités, des surveyors professionnels, un examen des titres de propriétés incluant bien sûr la présence de lien, bref une démarche qui est toujours à l’avantage de l’acquéreur afin d’éviter la fameuse citation : J’AURAIS DONC DÛ
Les courtiers chez Ita Yachts Canada Inc. sont à votre disposition pour tout achat ou encore pour la vente de votre bateau, ici ou à l’international. Nous sommes familiers avec le marché américain et selon la nature de la transaction, nous sommes présents lors des inspections et soyez sans crainte, la fiscalité n’a pas de secret pour nous incluant un éventuel retour du bateau au Canada. Plus de la moitié de nos transactions se font hors du Canada.
Un accompagnement professionnel fait la différence et généralement, nos services sont gratuits pour vous en mode achat. Le marché américain fonctionne comme pour l’immobilier. Les acquéreurs ont leurs propres courtiers qui les représentent.
Donc vous n’avez pas à vous préoccuper de la rémunération de votre courtier puisqu’il partage celle du courtier vendeur.
