Oui, si les conditions gagnantes sont rassemblées.
Le bateau vous convient parfaitement, vous avez procéder à une inspection complète à l’eau comme hors de l’eau, l’hivernement prévu est assumé par le vendeur et vous êtes confortable à l’idée d’attendre au printemps prochain pour en profiter.
Bien sûr, le marché actuel avantage considérablement les acquéreurs, la négociation est beaucoup plus facile. Les vendeurs à l’automne se doivent d’être ouverts à la négociation.
Il y a les offres ici (disponible dans notre grande région QC et ONT), mais aussi les aubaines du côté américain qui sont nombreuses, et ce même en tenant compte de la conversion de la devise canadienne en dollars US.
En effet, l’abondance du marché chez nos voisins du sud propulse les prix nettement à la baisse, et ce pour toutes les régions comme la grande région des Grands Lacs (en eau douce) ainsi que la côte Est des États-Unis de Boston à New York, en passant par la baie de Chesapeake, les Carolines et finalement bien sûr la Floride.
Les vendeurs sont très nombreux et les acheteurs plutôt hésitants en ces temps plutôt difficiles créer par l’administration américaine.
L’important c’est toujours d’évaluer un bateau sous toutes ses coutures et de l’évaluer au mérite selon vos critères. S’il est difficile ou impossible de procéder aux inspections en raison de la température ou l’hiver, il est facile de prévoir l’étape de l’inspection (à l’eau) seulement lorsque cela sera possible et ainsi différer la conclusion de la transaction. Il peut aussi y avoir une réserve ($) pour prévoir les éventuelles anomalies. Plusieurs formules sont possibles afin de sécuriser à la fois l’acquéreur et le vendeur. Un courtier professionnel (ItaYachtsCanada.com) est familier avec ses conditions.
Laisser de côté ou interrogé-vous sur les gens qui vous déconseille de regarder du côté de nos voisins (USA), il faut voir toutes les possibilités et cesser de croire qu’un bateau en eau salée est automatiquement une épave. Quelles sont les motivations de ceux-ci pour vous empêcher de faire une excellente transaction !!!
Bien sûr qu’un bateau qui a nettement manqué d’amour, mieux vaut le prendre en eau douce, mais cette règle n’est pas universelle, elle ne s’applique pas à tous les bateaux en territoire américain.
L’important c’est de bien connaître ses propres critères d’achats, ses besoins, et j’ajouterais de vous faire accompagner par un professionnel qui sait vous expliquer les procédures, les étapes, la fiscalité, bref comment va se dérouler la transaction jusqu’à la prise de possession finale.
Les recherches sur l’ensemble du marché, les offres sans contraintes, les négociations, les inspections, la vérification des titres de propriété, le paiement, la livraison, la fiscalité, bref, pour une transaction sans souci, faites -vous accompagner par des professionnels d’expériences, compétents et surtout avec une éthique qui saura vous mettre en confiance.
Il y a aussi les conseils sur les tendances, ce qui se passe sur les différents marchés, sur les perspectives des marchés pour chacune des catégories et savoir anticipé en même temps le marché pour les prochaines années et ce sans avoir une obligation envers une marque précise ou autres.
Aussi, pourquoi pas profiter de votre bateau dans le sud pour l’hiver et le faire entrer au Canada qu’au printemps ou au début de l’été prochain… Ce sont des scénarios qui valent la peine d’être explorés.
Alors pourquoi pas un Princess Yachts, un Searay, un Azimut, un Sunseeker, un Marquis, un Cruisers Yachts, un Tiara, un Ferretti, un Riva, un Prestige Yachts, un Pershing, un Carver, un Beneteau, un Jeanneau, un Formula, un Maritimo, un Riviera, un Absolute, un Galeon, un Ocean Alexander, bref…tous les manufacturiers les plus populaires sont disponibles et en bonne quantité, alors pourquoi hésiter…
Les courtiers ou les brokers de chez Itayachtscanada.com sont à votre disposition et nous sommes très familiers avec les achats ou les ventes en territoire américain. Contactez-nous si vous désirez plus d’informations à ce sujet au 514-521-1221.